TORI LITWACK » australian crush

» LE SPORT. Malgré son petit mètre 57, Tori est une redoutable sportive. Elle a tout d’abord commencé par la danse quand elle était en primaire, avant de se tourner vers le kickboxing et le Tae Bo. Elle est également ceinture verte en karaté. Elle a arrêté toutes ces disciplines à la fin du lycée pour se consacrer pleinement au surf, qu’elle pratique avec sa sœur depuis son enfance, ainsi qu’au roller skate, sa nouvelle lubie. Tori adore se dépenser, repousser ses limites physique et parfois psychologiques mais, surtout, elle adore les défis et la compétition. Pour les sports de combat, elle en a fait énormément et ils lui ont enseigné l’humilité et la concentration. Pourtant, Tori a la rage de vaincre et elle adore gagner… Dernièrement, elle s’est mise aux compétitions de surf, organisées nationalement ou parfois simplement par des sponsors pour gagner un peu d’argent. Enfin, elle est une fanatique de rugby. Elle y a joué occasionnellement mais son gabarit n’est pas véritablement adapté alors elle se contente d’aller au stade – ou plus souvent devant sa télé – pour supporter l’équipe nationale et suivre les différents championnats. Bref, entre Tori et le sport, c’est une grande histoire d’amour.

» LA MUSIQUE. Tori n’ayant jamais été une très bonne élève, elle se considère comme une artiste et a commencé à jouer de la musique dès son plus jeune âge. Elle a débuté avec le piano puis l’a délaissé pour se mettre à la guitare. Elle est loin d’être une incroyable musicienne, elle n’a jamais pris de cours et a préféré apprendre en autodidacte. Cela dit, elle a écrit quelques chansons et bidouille pas mal sur son ordinateur pour créer quelques morceaux. Car Tori est pas mal branchée musique électronique un peu pop. Les deux seules chansons véritablement enregistrées sont d’ailleurs dans ce goût-là. Mais la jeune femme est très ouverte musicalement, tant qu’il y a du bon son et une écriture sympa. Malgré son tempérament, Tori n’a encore jamais osé jouer en public, ou même devant ses amis. Elle considère que, tant qu’elle n’a pas quelque chose de solide, elle ne mérite pas de prendre la place des musiciens de rue qui gagnent leur vie en faisant ça alors que, pour elle, il s’agit d’un loisir.

» LA MODE. Tori est loin d’avoir la silhouette de mannequin de sa sœur mais elle adore les fringues. A chaque virée shopping, elle rentre à la maison avec un minimum de cinq articles. Cependant, comme sa sœur, Tori possède une panoplie de tops colorés, de vêtements de sports à la fois pratique et sexy achetés dans les boutiques spécialisées de surf, de maillots de bains de toutes les couleurs et des tonnes de chaussures – même si elle porte plus souvent des tongs ou des spartiates. Mais son pêché mignon, ce sont les chapeaux : elle en porte tout le temps, de toutes les sortes (de la caquette au chapeau de cow-boy en passant par les bonnets d’hiver et les bobs, etc.). Tori ne porte jamais de vêtements noirs et adore également se déguiser – bien que sa garde-robe soit considérée par certains comme un cirque…

» DEHORS. Tori n’a jamais aimé être enfermée plus de deux heures d’affilée dans une pièce. Et c’est sûrement pour ça qu’elle a toujours détesté l’école, bien qu’elle ait toujours réussi à se maintenir au-dessus de la moyenne (redoubler aurait voulu dire rester plus longtemps à l’école). Tori passe son temps dehors, à l’air libre, dans la rue, à la plage, dans l’eau, dans les parcs, etc. Toutes ses activités se déroulent toujours en plein air et elle chérit cette liberté. Que ce soit de faire du roller, du surf, du shopping, discuter avec des amis, danser sur un trottoir avec un groupe de musiciens de rue… Bref, Tori passe un maximum de son temps dehors et, si ça ne tenait qu’à elle, elle dormirait chaque nuit dans un hamac accroché à des palmiers. En fait, elle n’aurait aucun mal à vivre sur l’île de « Lost ». D’autant plus que la jeune femme est plutôt débrouillarde.

» BRIANNA. Avec sa sœur, c’est une grande histoire d’amour… et de haine. Depuis toujours, les deux filles ne font que se battre, se faire des coups bas, se traiter de tous les noms d’oiseaux, etc. Elles se font parfois des crasses impossibles et qui, pour certains, seraient un bon mobile de meurtre mais, il faut aussi l’avouer, elles s’adorent. Leur relation est particulièrement explosive et souvent incompréhensible pour leurs proches – même pour leurs parents – mais elle est plus forte que tout et il faudrait vraiment quelque chose de démentiel pour les séparer.